En remontant le Cambodge

Une fois la frontière cambodgienne passée, nous remontons tranquillement vers la capitale. Phnom Penh est une grande ville, moderne et aérée, offrant beaucoup pour les touristes. Peut-être même un peu trop…

La grande ballade le long du Mekong est un bon spot pour profiter de la ville mais les bars clairement identifiés occidentaux pullulent. Les chauffeurs de tuk-tuk sont également au parfum, n’hésitant pas à multiplier leurs offres de services autant qu’ils multiplient leur prix.

Pour autant la ville a un certain charme et propose de nombreuses richesses.

Nous commencerons à les entrevoir dès le lendemain de notre arrivée après avoir été chercher ma mère à l’aéroport international. Arrivée en avance (typique), elle nous attend sur place et malgré la dizaine d’heures d’avion et la chaleur, elle est prête à enquiller les musées et les visites.

Musée national, Pagode d’argent, Zone S51… Nous avons peu de temps morts a Phonm Penh et commencons à nous familiariser avec la culture Khmer.

Avant de monter voir Angkor, c’est vers le sud que nous nous dirigeons. Après quelques heures de bus et de karaoké niais au possible, nous voici à Kampot. Ou plutôt à quelques kilomètres de la ville ou nous avons trouvé un petit coin isolé qui nous permet de profiter du calme, des couchers de soleil et de la nourriture oppulente. Un petit saut à Kep pour gouter aux crabes encore tout frais du marché, profiter de la jolie petite plage et nous voilà frais et dispo pour attaquer les temples Khmers.